Au parc Le Ber, dans Pointes-Saint-Charles, un jeune enfant dessine ce qu’il sait du fonctionnement du cerveau. Il explique à Jérémie et Sébastien, médiateurs à vélos, que l’hippocampe – la petite figure rouge au bas de la bulle – s’occupe de faire des connexions. Les neurones se parlent, ils se branchent et se débranchent.

 

À Anjou, les élèves de l’école des Roseraies imaginent les connexions de l’hippocampe dans une boîte avec des papiers colorés où sont consignés leurs souvenirs et impressions sensorielles. Sur le Plateau Mont-Royal, à l’école Arc-en-ciel, le projet inspire plutôt des géo-constellations aux jeunes. En petit groupe d’ami.e.s, chacune et chacun localise sa maison sur la carte du quartier. Ces points deviennent des étoiles à relier. Quel nom donner à ces formes de l’amitié? Les élèves prennent plaisir à y réfléchir ensemble.

 

Un groupe de femmes à l’Auberge Madeleine place aussi des points sur une carte. Chacune identifie des lieux qui sont ou ont été significatifs pour elle. Elles échangent sur leurs expériences et découvrent qu’elles connaissent décidément beaucoup de choses sur la ville.       

 

Image 1 : Dessin d’enfant, parc Le Ber, 29 septembre 2021. Plus sur la provenance de cette trace

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Image 2 : Création d'une élève, école Des Roseraies, 10 décembre 2021. Plus sur la participation de cette école

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Image 3 : Création d’un groupe d’élèves, école Arc-en-ciel, 29 novembre 2021. Plus sur la participation de cette école

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Image 4 : Carte résultant d’un atelier collectif, Auberge Madeleine, 26 octobre 2021. Plus sur la provenance de cette trace

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